dimanche 10 mai 2020
VINGTIEME SIECLE
Dans les dernières années du siècle dernier, je peignais sans malice, des motifs que j'aimais bien, dans une manière que j'aimais bien. Et ça me suffisait. Je ne faisais pas de différence entre un tableau peint d'après une image personnelle et un autre dont le modèle était issu d'un magazine. J'utilisais du noir d'ivoire, sans me soucier que ça vieillisse très mal. Je pensais qu'être un bon peintre, c'était faire de la bonne peinture. Tout a changé.
Libellés :
art bordeaux,
art libourne,
philippe baryga,
rubenshuis 2,
théorie de l'art
Inscription à :
Articles (Atom)